Quintescent est parti, nous voilà donc bien tristes,
Ne sachant même pas s'il reviendra jamais,
Et si on reverra ce héros qu'on aimait,
Qui éclairait nos vies de son éclat d'artiste.

Toute la nostalgie qui nous prend tout à coup,
Plonge nos pauvres vies dans un instant si morne,
Quand nous songeons soudain qu'à des milliers de bornes
Est parti cet ami qui nous manque beaucoup.

Las ! Regardez plutôt cet air désenchanté,
Que montrent désormais ceux qui le fréquentaient
Qui errent désormais sans bonheur et sans but.

Reviendras-tu jamais, toi que nos coeurs attendent,
Toi vers qui sans espoir nos pauvres mains se tendent ?
Des vacances, il en faut, mais là c'est de l'abus !